Monik Kervran. « Fondations qarâkhânides », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 335-352.
Texte intégral
1L’article est une recension des constructions fondées par les Qarâkhânides et leur entourage d’après les vestiges archéologiques qui en subsistent, l’histoire de certains d’entre eux étant éclairée par la présence d’inscriptions et d’après des témoignages littéraires. Les plus anciens de ces monuments datent des premières décennies du 11e s. et parmi eux se trouve le premier exemple de complexe architectural composé d’une fondation pieuse et du mausolée de son fondateur : la madrasa de Tamghâch Khân (444-460/1052-1068) à Samarkand. Quant à Arslân Khân (495-523/1102-1129), il fut le plus grand bâtisseur de la dynastie : on lui doit la restauration de la citadelle et de la forteresse de Boukhara, plusieurs palais et mosquées à Boukhara même ou dans les villes environnantes.
Pour citer cet article
Référence électronique
Audrey Peli, « Monik Kervran. « Fondations qarâkhânides », in : Pierre Leriche, Charir Pidaiev et Mathilde Gelin, éds., La Bactriane au carrefour des routes et des civilisations de l’Asie centrale : Termez et les villes de Bactriane-Tokharestan. Paris, Maisonneuve et Larose, 2001 (La Bibliothèque d’Asie centrale ; 1), pp. 335-352. », Abstracta Iranica [En ligne], Volume 25 | 2004, document 207, mis en ligne le 15 mars 2006, consulté le 29 mars 2024. URL : http://journals.openedition.org/abstractairanica/4765 ; DOI : https://doi.org/10.4000/abstractairanica.4765
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